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Omblèze, c'est le bout du bout d'une vallée qui s'enfonce profondément dans les flancs du Vercors, celle de la Gervanne. Là, on se trouve au pied de la rude dénivellation qui mène au Col de la Bataille. Incroyable: il y a aujourd'hui 70 habitants. Il en eût jusqu'à 500 à l'époque de la Révolution française. Comment vivait-on là? André Garnier le raconte avec chaleur.
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Voici, racontées par de simples villageois, des heures de l'occupation allemande dans le val de Drôme, au sud du Vercors.
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André Liotard vit dans l'étroite vallée qui mène, dans la Drôme, d'Aouste à Gigors. On est là dans un territoire un peu sombre où, il y a peu encore, tous les habitants étaient agriculteurs. André Liotard, 86 ans et dont l'arbre généalogique remonte au XVI° siècle, nous raconte sa vie à la ferme.
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Nous avons vécu en quatre vingts ans une révolution dans le commerce rural et nous ne nous en rendons pas compte. Jadis, les "coquetiers", c'est-à-dire les marchands ambulants, jouaient un rôle décisif pour faire le lien entre les paysans et les consommateurs. Du reste, localement, le fondateur d'Intermarché, M. Jean-Paul Bret, a eu une activité ambulante. Ce film rappelle ces moments là.
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Le "Comité Plouf" s'est donné pour vocation de contester le projet de centre aquatique prévu à Crest qui lui paraît d'une taille excessive et dont les circonstances de l'élaboration sont peu démocratiques. On ne présente pas, par ailleurs, Nuit Debout. Il en existe une "branche" à Crest. Or, voilà que les deux organisations a priori fort distinctes s'allient pour une manifestation à Crest samedi 21 à la mi-journée pour une manifestation commune contre ce centre aquatique. Quel est le sens de cette alliance? Question posée par TV Val de Drôme à Éric Fouilhé et Michèle Lennon du Comité Plouf.
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Yvonne Boulard a été des décennies durant, agricultrice sur les hauteurs de Blacons. Une vie dure. Elle la raconte ici.
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Il y a soixante-dix ans environ, l'eau n'arrivait pas au robinet dans les maisons de notre région (et bien rarement ailleurs en France). On allait la chercher à la fontaine. Bien entendu, cela impliquait que n'existait aucune machine à laver et que la toilette se faisait à la cuisine. Ceci explique, entre bien d'autres raisons, l'architecture des maisons d'alors qui sont heureusement nombreuses à subsister. Témoignages sur ce temps à travers nos vallées.
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Témoignages sur le formidable écart entre nos existences et celles d'il y a soixante dix ans.
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